mardi 4 décembre 2018

Sapin-lilas... une nouvelle sur la pauvreté en France et la dignité d'une femme.

Je vous offre le premier soir, de Sapin-lilas sur le site Atramenta. Vous pouvez le lire gratuitement et cela me semble important.

 cliquer sur l'image pour lire le premier soir
J'ai reçu des commentaires élogieux, mais aussi des messages émouvants en mp. Je ne pensais pas que cela aurait autant d'impact dans une société qui est en plein déni. Je ne m'attendais pas à ce que l'on entende ce que j'écris avec tant de douleur.

On est en période de fêtes me direz-vous ! Tout le monde doit être heureux... enfin faire comme si... Là, j'ai voulu montrer les instants de bonheur que l'on peut avoir quand on a froid, faim et que l'on travaille.

Premier soir n'est que le début de cette nouvelle, qui je l'espère sera en ligne sur Amazon en e-book assez rapidement, en attendant que je le fasse en papier.

Voici, quelques commentaires laissés pour cette première partie.

Yves Parigaux 25 novembre 2018 à 17h13
Très belle histoire, triste, hélas contemporaine... mais aussi foncièrement lumineuse et gaie. Et qui m'a fait revivre les Noëls racontés par ma mère qui est toujours de ce monde. Dans sa famille, qui n'était pas dans une situation difficile ou spéciale - ses deux parents étaient là et avaient un travail normal - le cadeau de Noël que les parents faisaient à leurs trois enfants était une orange pour chacun.
On se doute que comme les châtaignes de cette histoire, chaque orange était admirée longuement, et chaque tranche d'orange l'objet d'une lente dégustation...

Geneviève Thibert 26 novembre 2018 à 16h32
"Émue, Sybille sent sa gorge se serrer..."
La mienne aussi s'est serrée à la lecture de ce texte! 
Oui Noël a perdu de sa magie. Les enfants de notre époque sont-ils vraiment heureux lors de cette fête ? 
De petits faits simples comme de chanter en chœur (comme dan votre histoire) n'apportent-il pas une joie plus profonde ?
Quelle dignité a cette maman! (une vraie maman!)

Gordon BRAND 30 novembre 2018 à 17h15
Un texte d'une justesse rare. On suppose que c'est presque du vécu. A lire, à faire lire, à partager. Le monde est ce que l'on en fait... Et on peut le faire plus beau!

Marietta Rauschomm 28 novembre 2018 à 12h01
on dirait du Dickens.... (c'est un compliment, !)
à publier dans les revues qui essayent d'aider les plus fortunés à trouver le "bon" cadeau, hors de prix naturellement..... ça m'énerve, si vous saviez

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